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« Dresser à cette langue un petit monument peut-être funéraire, fait de mots les plus purs et de ses formes les plus nobles, - un petit tombeau sans date, - sur les bords menaçants de l’Océan du charabia... »
Paul Valéry, Lettres à Albert Mockel (1917)
in Paul Valéry, Lettres à quelques-uns, Gallimard, 1952, p. 123.
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