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A propos de l'auteur

  • PE2

    Professeurs des écoles stagiaire à l’IUFM de Poitou-Charentes.

de Francesca Simon, David Melling publié chez Larousse en 2007.

Par Gomes Emmanuelle, Tanneau Elodie, Videt Karine.

Séances en collectif :

Séance 1 : Lecture de la première double page et mise en place du cadre et des personnages. Ouverture sur le sentiment de la peur (lexique).
Ojectif : Poser le cadre de l’histoire.

Séance 2 : Lecture intégrale de l’œuvre.
Objectif : découverte de l’histoire.

Séance 3 : Nouvelle lecture de l’œuvre, et jeu sur le son : "Retrouvons à quel objet correspond le bruit". ( le son est oralisé par l’enseignant à l’identique de la première lecture).
Objectif : s’approprier l’histoire, la mémoriser.

Séance 4 : Motricité : mime. Jeu de mime de l’histoire. L’enseignant lit , fait les gestes, et l’enfant imite.
Objectif : s’approprier l’histoire par le geste.

Séances en atelier :

Atelier : Arts visuels :
=>peinture, remplir plusieurs surfaces de différentes couleurs, puis découpage par l’enseignant ou l’atsem (ou l’élève en fonction du niveau) de formes pour figurer l’oreiller, la couverture. Superposition de l’oreiller, Maxou photocopié, la couverture pour reproduire Maxou dans son lit. (lien avec le langage topologique : dessus, dessous).

=>pochoirs/tampons : les pattes du chien sur la couverture.
=>dessiner ce qui leur fait peur.

_Atelier : graphisme :
=>travail de la forme ronde et gestion de l’espace : dessiner les empreintes des pattes du chien sur la couverture du lit.

Atelier : Mathématiques en lien avec la maîtrise de la langue :

=>Images séquentielles : remettre les images de l’histoire dans l’ordre et verbaliser de nouveau sur l’histoire.

Atelier : appropriation du langage écrit :
=>Analyser et théâtraliser le texte en fonction de la taille des caractères (lien avec la BD).

Atelier : maîtrise de la langue, dictée à l’adulte :
=>Demander aux élèves de raconter ce qui leur fait peur. Evaluation individuelle puisque chaque enfant doit raconter ce qui lui fait peur (création d’une phrase correcte à l’écrit). La phrase finie, sera inscrite par l’élève sur son cahier et illustrée par l’image de la première page modifiée : la photo remplace le petit chien. Sur la couverture du lit, les pattes du chien sont remplacées par des petites mains d’enfants (tampon).


Graphisme et motricité

Proposé par Payen Armelle, Minet Fanny, Sinnaut Pauline, Lefebvre Marion, Poupard Maud

Objectif final : création d’un répertoire de différents graphismes (sous la forme d’un nuancier)

L’idée est de prélever dans chaque illustration de l’album, un graphisme particulier que l’élève devra compléter :
- Quadrillage du cadi (p2)
- Ronds des fruits et légumes (p2)
- « demi-lunes » des bananes (p5)
- Rectangles des boîtes sur les étalages, et des surgelés (tout au long du livre)
- Contour de l’ombre du chien (p11-12)
- Points sur la jupe d’un des personnages (p7)

En parallèles, plusieurs activités de motricité peuvent être prévues : se déplacer en ligne droite, en courbes et zig zag en sautillant…
_Au départ de chaque atelier, il est possible de prévoir le graphisme correspondant au déplacement à effectuer. Voici le parcours envisageable :


Séquence axée sur les disciplines transversales pour une classe MS et GS

Proposée par Marie Poncelet et Claire Olivier

Compréhension, interprétation

Une lecture puzzle peut être faite à partir d’un choix limité d’images (4) afin de reconstituer la chronologie/trame de l’histoire (sur le schéma suivant : Maxou s’enfuit, Papy le cherche, Maxou est perdu, Papy et Maxou se retrouvent).

Graphisme

Le quadrillage peut être exploité à travers la représentation du chariot de supermarché, les ronds grâce aux oranges, les carrés avec les boîtes de céréales et les lignes obliques grâce aux rayons du supermarché.

Représenter le trajet de Papy dans le supermarché pour retrouver Maxou : ainsi il doit passer par le rayon des bananes, des laitues et des haricots.

Application en EPS

Jeux des déménageurs : remplir / vider sa maison et parcours sur briques (à la manière de la rivière aux crocodiles).

Lecture d’images

Sur la première double page, on peut demander aux élèves de repérer où est Maxou et ce qu’il fait (la particularité réside dans le fait que Maxou n’est présenté que de derrière, sous un étalage puisqu’il est en train de s’enfuir, fil rouge tout au long de l’histoire).

Sur les troisième et quatrième doubles pages, on peut attirer l’attention des élèves sur les oreilles de Maxou : en effet le quiproquo se crée entre celles-ci et le chapeau d’une dame.

Sur la double page 9, la réflexion peut être amenée autour de la taille de Maxou : il est tout petit au milieu des clients, le sentiment d’abandon est ainsi amplifié. Sur la page suivante, il en est de même lorsque le point de vue est situé au-dessus et derrière les clients qui regardent Maxou.

Sur la dernière page, le mouvement est crée par la représentation du Papy levant les bras, perdant ses lunettes et par Maxou, oreilles en l’air donnant l’impression de freiner.