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A propos de l'auteur

  • Valérie PEREZ

    Fondatrice de ce site et auteur de la majorité des articles mis en ligne.
    Professeur agrégée et docteur en philosophie.

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- Bercegol Fabienne , « Tocqueville, De la Démocratie en Amérique 2 « Physionomie littéraire des siècles démocratiques », I, 18, p. 69-75 » ,
L’information littéraire, 2004/4 Vol. 56, p. 23-32.2

- Ferraton Cyrille , « L’idée d’association chez Alexis de Tocqueville » ,
Cahiers d’économie Politique / Papers in Political Economy, 2004/1 n° 46, p. 45-65.

- Spandri Francesco , « La vision de l’histoire chez Stendhal et Tocqueville » ,
Revue d’histoire littéraire de la France, 2006/1 Vol. 106, p. 47-66.

- Guellec Laurence , « « Tocqueville et la littérature » » ,
Romantisme, 2006/1 n° 131, p. 61-74.

- VIBERT , « Tocqueville ou de la difficulté d’être orateur » ,
Romantisme, 2006/3 n° 133, p. 108-122.

Audard, Catherine, Qu’est-ce que le libéralisme ?, Paris, Folio, 2009.

Présentation de l’éditeur : Est-ce un abus de langage que d’utiliser le même terme de " libéralisme " pour les idées de Locke et celles du New Deal, pour les thèses de John Rawis et l’expérience économique des théories de Milton Friedman que fit le Chili de Pinochet ? À la question " Qu’est-ce que le libéralisme ? " il n’est qu’une réponse pertinente : mettre en évidence le noyau constitutif d’idées et de valeurs qui donne sa cohérence au libéralisme, à travers la reconstitution de ses débats et de ses crises dans l’histoire. Cette théorie définit ce qu’est la société " bonne " ou " juste " : celle où chacun, tant qu’il ne nuit pas à autrui et n’attente aux intérêts vitaux de personne, est le meilleur juge, dans la liberté de sa conscience, de son bien et de ses intérêts, dont il peut être tenu pour responsable. Des origines à aujourd’hui, Catherine Audard tisse la toile des liens pour le moins contradictoires qu’ont entretenus cette théorie normative et la politique réelle. Où le lecteur découvrira alors les nombreuses limites, économiques, politiques et sociales, que l’éthique libérale a posées pour que chacun puisse être libre, sans oppression ni sujétion d’aucune sorte. Le libéralisme, en cela, n’est pas un système, mais une promesse.

Jaume, Lucien, L’Individu effacé ou la paradoxe du libéralisme français, Paris, Fayard, 1998.

Présentation de l’éditeur : Le dilemme du libéralisme en France. Vision du monde élaborée dès le XVIIIe siècle et enrichie par des esprits aussi éclairés que Mme de Staël, Benjamin Constant, Victor Cousin, Guizot ou Tocqueville, le libéralisme français a peu de chose à voir avec la caricature qu’en donnent aujourd’hui aussi bien ceux qui le combattent que ceux qui en font l’apologie. La première grande synthèse sur un courant de pensée majeur qui a inspiré la révolution mais qui, ayant par la suite peiné à s’imposer en France, a longtemps été négligé.

Jaume, Lucien, Tocqueville, Paris, Fayard, 2008.

Présentation de l’éditeur : La question centrale de De la démocratie en Amérique - reprise ensuite dans L’Ancien Régime et la Révolution - est celle des formes nouvelles de l’autorité à l’époque moderne. En nous parlant de l’autorité dans la société, dans la religion, dans la littérature ; dans les pouvoirs locaux - et pas seulement dans l’Etat -, Tocqueville ne nous parle pas uniquement de l’Amérique. En réalité, il ne cesse de parler de la France et de l’avenir de ce qu’il appelle « démocratie » en Europe ; de plus, à travers une stratégie d’écriture, il livre et cache à la fois sa vision de la liberté. En restituant l’ensemble du contexte avec lequel Démocratie en Amérique mène un dialogue permanent, y compris grâce à la correspondance inédite, Lucien Jaume donne un portrait intellectuel de l’homme Alexis de Tocqueville : figure romantique et pascalienne, qui traite par l’écriture les conflits intimes de sa classe et de sa personnalité.